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Château Monbousquet

L’histoire du Château Monbousquet date du XVIème siècle. Dirigé par de grands noms et d’ambitieux propriétaires, le domaine est aujourd’hui conduit par le passionné Gérard Perse. C’est sur l’appellation Saint-Emilion, sur 32 hectares d’un sol composé de graves, de sables et d’argiles que s'alignent les vignes. Précurseurs dans leur approche de la viticulture, les Perse proposent pour la première fois sur l’appellation, la culture de cépages blancs. Merlot, cabernet franc, cabernet sauvignon, sémillon, sauvignon blanc et muscadelle sont autant de cépages qui permettent d’élaborer ce Grand Cru Classé.

Une histoire guidée par de grandes ambitions

De François de Liscours à la famille Perse

L’origine du Château Monbousquet date de 1540. On attribue sa création à François de Liscours. Plus tard, en 1682, Henri de Gères acquiert le Château et en assure les aménagements en pieds de coteaux saint-emilionnais. La propriété se transmet de génération en génération, jusqu’au mariage de Jeanne de Gères avec François de Carles. Le vignoble rejoint alors le patrimoine de cette famille, présente dans le bordelais depuis le XIVème siècle. De grands travaux de restructuration du domaine sont entrepris. Dans le même temps, en 1779, le château que l’on connaît aujourd’hui est construit. Le XIXème siècle est marqué par une certaine instabilité dans la direction du Château. Néanmoins, la réputation et la notoriété des vins du domaine n’a eu de cesse de croître durant ce siècle. Le Comte de Vassal-Montviel augmente grandement la superficie du domaine par plusieurs achats. Si les conflits mondiaux éclipsent la réputation du domaine un moment, celui-ci s’affirme de nouveau dès 1945.

La famille Perse acquiert en 1993 le Château Monbousquet. La réorganisation du vignoble, du chai et des techniques de vinification est impulsée dès l’arrivée des nouveaux propriétaires. En 2006, les efforts fournis par l’ensemble des équipes du Château sont récompensés par le classement de leur vin au rang de Grand Cru Classé de Saint-Emilion.


Le château

Une viticulture saint-émilionnaise ambitieuse

Une maîtrise parfaite des cépages rouges et blancs

C’est au sud-ouest de l’appellation de Saint-Emilion que se situe le domaine du Château Monbousquet. Le vignoble s’étend sur 32 hectares d’un sol composé de graves, de sables et d’argiles. Grâce aux travaux réalisés sur les sols, dès l’arrivée de la famille Perse, les vignes s'épanouissent sur un terrain davantage drainé. Ainsi, les sables assurent une filtration des eaux efficace. L’argile apporte de la fraîcheur, régulant donc l’apport en chaleur permis par les graves. Chaque cépage peut alors révéler toutes ses spécificités. À ce titre, le merlot (60%) apporte de la rondeur, le cabernet franc (30%) de la finesse et le cabernet sauvignon (10%) de la structure. Le Château Monbousquet compte parmi les précurseurs de Saint-Emilion. Il est en effet le premier domaine à proposer des vins blancs sur l’appellation. Ainsi, trouve-t-on des ceps de sémillon, de sauvignon blans, de sauvignon gris et de muscadelle.

La viticulture est pratiquée de façon conventionnelle par Michel Longo et ses équipes. Les productions sont maîtrisées. Le Château Monbousquet a fait le choix d’un faible rendement afin d’assurer la grande qualité des raisins. Cette exigence participe à la réputation de ce Grand Cru Classé.


Les vignes

Le duo Jean-Philippe Lavantour et Gérard Perse

Une vinification de passionnés

Après des vendanges réalisées à la main, les baies sont minutieusement triées et égrappées. Les malolactiques et la fermentation se déroulent en cuve. Le maître de chai, Jean-Philippe Lavantour, élève du célèbre Michel Rolland, met un point d’honneur à vinifier de façon parcellaire. Les jeunes vins sont ensuite placés en barriques de chêne, neuves à 100% pour une période de 18 à 24 mois. Des soutirages fréquents sont pratiqués, en moyenne tous les trois mois. Le bois permet au vin en vieillissement de s’aérer mais également de complexifier son bouquet.

Le Château Monbousquet produit deux premiers vins, l’un en blanc, l’autre en rouge. Le second vin du Château, Angélique de Monbousquet se déguste en rouge uniquement. Ce sont des vins d’une grande délicatesse qui sont produits. En autodidacte de la vigne, il offre aux consommateurs une approche toujours plus novatrice dans l’appréhension de ces vins. Ainsi, chaque dégustation offre d’agréables surprises.