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Château Meyney

Les premières vignes du Château Meyney sont plantées par les moines, au XVIIe siècle. Dès le départ, les productions se font remarquer et n’auront de cesse de séduire le consommateur. Malgré la succession des propriétaires, la qualité ne cessera de croître, jusqu’à atteindre le rang de Cru Bourgeois Supérieur. Protégé par la Gironde, les 51 hectares de cabernet sauvignon, merlot et petit verdot jouissent de conditions idéales. Un terroir similaire à Pétrus ainsi qu’une vinification perfectionniste assure une qualité irréprochable au Premier et Second vin.


L’histoire du Château Meyney

Les travaux remarquables depuis 1662

C’est sous l’Ancien Régime et dans le médoc que commence l’histoire du Château Meyney. Initialement couvent, le bâtiment accueille les frères Feuillant. Dès 1662, donc, la vigne est plantée autour du domaine et est cultivée par les moines. Suite à la Révolution Française, le Château Meyney est acquis par la famille Luetkens. Il sera transmis avec l’ambition partagée par toutes les générations de travailler sur la qualité de chaque millésime.

En 1919, c’est Désiré Cordier qui se porte acquéreur de la propriété. Célèbre négociant sur la place de Bordeaux, il aura à cœur de développer considérablement les activités du domaine. La renommé du Château Meyney sera alors croissante. Les vins produits au domaine seront d’ailleurs hissés au rang de Cru Bourgeois Supérieur.

Les difficultés financières de la famille vont les amener à se dessaisir de ce bien, qui rejoindra alors le patrimoine d’une banque coopérative. Chaque décision prise au domaine œuvre à la revalorisation du cru et du terroir.

C’est aujourd’hui Anne Le Naour qui est à la tête de la direction technique du domaine. Elle réalise un travail remarquable, avec l’aide à la vinification de Hubert de Boüard.


Les Chais du Château

Le terroir des grands crus

Les influences de la Gironde

C’est sur la rive gauche de Bordeaux que se situe le vignoble du Château Meyney. Sur l’appellation Saint-Estèphe, le domaine s’étend sur 51 hectares, d’un seul tenant. Non loin de la Gironde, les cépages de cabernet sauvignon (60%), merlot (30%) et petit verdot (10%) sont protégés des aléas climatiques et de la grêle notamment.

Les ceps s’alignent sur un sol de graves siliceuses surmontant un sous-sol d’argiles bleues de 3 mètres d’épaisseur. Le Château Meyney a la chance de disposer d’un terroir qui se rapproche de la composition du sol du vignoble de Pétrus. Situé en pente, le drainage du sol s’effectue naturellement.

Au château, la viticulture se pratique de manière raisonnée et traditionnelle. La taille et les opérations en vert sont dès lors incontournables. Chaque vigne peut alors concentrer les arômes du terroir dans les meilleures baies.


Anne Le Naour

Le retour parmi les élites de la rive gauche

Une qualité régulière entre les millésimes

Les vendanges débutent à la fin du mois d’août. Les raisins sont cueillis à la main et déposés sur des tables de tri. Deux sélections sont réalisées par le domaine afin de ne garder que les meilleures baies. La vinification se déroule en cuve inox et en cuve béton toutes deux thermorégulées. L’élevage se déroule en barrique de chêne, neuf à 50%, sur une période de 18 à 24 mois.

Chaque cépage issus des vignes du même âge est vinifié séparément des autres. De ce fait, la singularité de l’expression du terroir se préserve jusqu’à la dernière étape : l’assemblage. C’est Denis Rataud, maître de chai, qui orchestre chaque étape. Assisté d’Hubert de Boüard, œnologue conseil célèbre dans la région, ils créent ensemble chaque cuvée du Château Meyney. Un Premier vin et un second vin, Prieur de Meyney, créé en 1979 et issu des vignes les plus jeunes ; forment le tandem du Château Meyney.

Depuis que Anne Le Naour a repris les rênes du domaine, on remarque un retour auprès des élites de la rive gauche. À la dégustation, les vins sont puissants, aromatiques et structurés. Leur rapport prix/plaisir est particulièrement admirable.